Joueur incontournable du Red Star FC 93, Vincent Fourneuf est cette saison capitaine de l’équipe entrainée par Alain Mboma. Une fierté pour cet amoureux du club qui porte haut les couleurs du Red Star.  Interview décalée.

Qu’est-ce qui te fait te lever le matin ?
L’entraînement ! Je rigole mais c’est presque vrai : je suis le spécialiste de la grasse mat’ dans la mesure où je me couche généralement assez tard.

Ta plus grande qualité ?
Je sais pas trop… On va dire que celle dont je suis le plus fier est l’humilité.

Ton plus grand défaut ?
La nonchalance. Dans le foot, cela m’a énormément pénalisé lorsque je jouais dans les catégorie de jeunes.

Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?
Michael Scofield (NDRL : héros du feuilleton télévisé Prison Break), pour sa capacité d’adaptation.

Ton héros dans la vie réelle ?
Incontestablement, mes parents, ils m’ont mis au monde et m’ont fait partager leur amour du football, ce sont mes héros. A coté de ça, j’admire beaucoup un joueur comme Zinédine Zidane, pour tout ce qu’il a apporté au football, pour son génie et surtout pour son humilité, en témoigne son implication dans des associations caritatives. C’est un bel exemple pour tous.

La chanson que  tu siffles sous la douche ?
Il y en a beaucoup, je suis un grand fan de musique ! On va dire qu’en ce moment je chante « Rythm is love » de Keziah Jones.

Ton film culte ?
« Le plus beau des combats » avec Denzel Washington – le meilleur acteur au monde selon moi. J’aime ce film pour tous les messages qu’il véhicule et parce qu’il est tiré d’une histoire vraie. J’adore vraiment ce film.

Ce que tu détestes par dessus tout ?
L’arrogance.

Le talent que tu aimerais avoir ?
Faire rire, ce don n’est pas donné à tout le monde et peut s’avérer très utile !

Ton dernier fou rire ?
Il y a 10 jours, lors d’une journée au Parc Astérix avec des potes.

Le bonheur parfait selon toi ?
Que mes proches soient tous en bonne santé, c’est ce qui m’importe le plus

Ta devise ?
Ne te différencie pas autrement que par ton talent. (Si tant est que tu en aies un !).

Propos recueillis par Pauline Gamerre