Après
des victoires respectives en Coupe de Paris et en Coupe de Seine-Saint-Denis,
les équipes réserves du Red Star retrouvent le championnat ce week-end. L’équipe
DSR de David Giguet reçoit le FC Mantois 78, tandis que la formation de 1ère
Division de Fabrice Palmier se déplace à Coubron.

Dimanche
dernier, c’est à Sarcelles que l’équipe DSR du club audonien a assuré son
passage pour le troisième tour de La Coupe de Paris Le 10 Sport, grâce à une
victoire 2-1. Un autre challenge difficile attend les troupes de D.Giguet pour
le retour au championnat, avec la réception de la seconde équipe du FC Mantois
78. Les
Yvelinois se classent pour le moment cinquièmes du classement, soit deux places
devant leur adversaire du jour. Bien que l’on ne joue que la cinquième journée,
ce duel de milieu de tableau est donc susceptible de donner la tonalité de la saison
des deux opposants. « C’est une équipe qui nous ressemble, certainement
renforcée par des éléments de l’équipe première, confie D.Giguet. Ce sera le
cas pour nous aussi, notre groupe sera donc modifié par rapport à celui contre
Sarcelles. Mais quels que soient les joueurs, on a trop tendance à montrer deux
visages, ainsi qu’un relâchement coupable en fin de match. Cette fois, je veux
un match plein. »

Pour
la formation de 1ère Division, la tâche ne s’annonce pas facile non
plus avec un déplacement à Coubron. Leader du championnat avec trois succès en
quatre rencontres, l’équipe de Fabrice Palmier reste sur un revers
en championnat à Drancy (0-2). Mais l’équipe a depuis rebondi en Coupe de
Seine-Saint-Denis en étrillant le Cosmos Saint-Denis (7-0). « Je considère
que ce qui s’est passé à Drancy est un accident. Contre Coubron, il faudra
s’inscrire dans la continuité de ce que nous avons montré depuis le début de
saison, au niveau de la production du jeu, de l’engagement et du réalisme. Nous
ne connaissons pas cette équipe, mais, comme chaque match de 1ère
Division, ce sera sans doute une rencontre difficile. A nous de jouer notre
jeu, en continuant à respecter les consignes. C’est dans ces conditions que
nous sommes performants. »

Etienne
Martin