Trois questions à…Harry Vitalien

H.Vitalien revient sur le match nul à Neauphles (1-1)

Le capitaine de l’équipe réserve du Red Star, Harry Vitalien, revient sur le dernier match de l’année à Neauphles (1-1) et explique les raisons de la bonne première partie de saison de son équipe.

Harry, quelle analyse fais-tu de votre match nul à Neauphles (1-1) ?
Comparé à nos dernières rencontres, nous avons été moins bons. On a eu du mal à aller vers l’avant, à se procurer de vraies occasions de but, surtout en première période. Nous avons certes été combatifs, mais moins performants que d’habitude dans l’utilisation du ballon. Globalement, ce match nul est une contre-performance.

Comment l’expliques-tu ?
Contre Franconville et La Garenne Colombes, les deux grosses écuries du championnat, nous avions un challenge à relever. Nous l’avons relevé, puisque ces deux rencontres se sont soldées par deux victoires. Contre Neauphles, le challenge était de leur côté, ils avaient à cœur de battre le leader ! Nous avons encaissé un but rapidement, preuve d’un manque de concentration. On a essayé de réagir, face à une équipe qui évoluait en contres, et qui était performante dans ce domaine. Notre réaction n’a pas toujours été efficace, et on a souvent confondu vitesse et précipitation, en voulant bien faire. Mais je le répète, ce n’est pas un problème d’envie ni de détermination.

Plus globalement, quel regard portes-tu sur votre première partie de saison ?
Pour un promu, le bilan est très positif, puisque nous finissons l’année premiers ! Je pense que, dans cette équipe, il y a une âme, on forme un vrai groupe. Et l’union fait la force ! On s’applique à être costaud défensivement, et on encaisse peu de buts. L’avantage, c’est que nous nous connaissons bien, nous jouons ensemble depuis quelques saisons, ça aide forcément. Offensivement, on cherche toujours à produire des choses, avec plus ou moins de réussite selon les matchs. Mais je pense que l’état d’esprit reste notre principale force : on a un effectif de gagneurs.  

Propos recueillis par Etienne Martin



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